L'institut... Un extrait de mon roman érotique en cours d'écriture....

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 4 ans

Ceci est un extrait choisi de mon roman, en cours d'écriture...

La préparation

Les fesses encore endolories, je prends mes dispositions dès treize heure trente pour être frais, enfin à peu près frais, et à l’heure. Le conditionnement commence sans doute à porter ses fruits. Un quart d’heure avant l’heure du rendez-vous, je suis prêt et me voici en route pour la mystérieuse adresse…


Le 6 ter de la rue Clément, à ma grande surprise, abrite un salon de beauté et spa répondant au nom équivoque de Venus. De quoi va-t-il s’agir cette fois ?

Je me présente au comptoir et l’hôtesse, très mignonne brunette entre deux âges, m’annonce que je ne suis pas au carnet de rendez-vous. Certainement une prestation à titre privé par une de ses associées me dit-elle avant d’aller se renseigner.

Moins d’une minute plus tard, je vois débouler une très jeune femme peroxydée et coupé très court. Sa peau puissamment bronzée et ses mensurations athlétiques sont mises en valeur par une blouse blanche dangereusement courte sous ses jolies fesses. D’une voix dynamique et haut perchée, elle annonce en me tendant une main amicale :

« - Salut Zohran, moi c’est Amélie !

  • Bonjour Mademoiselle.

  • Suis-moi ! On a pas mal de boulot ! »

En annonçant ce dernier point, elle m’avait toisé de haut en bas en affichant un rictus signifiant quelque chose de parfaitement indéfini entre l’exaspération et l’amusement.

Je la suis vers l’arrière de la boutique où elle trotte à pas vifs et cadencés. Je profite de l’occasion pour admirer ses jambes toniques et ses mules dont les talons fins et très courts martèlent avec brutalité le carrelage immaculé.


Nous arrivons dans une arrière salle entièrement close garnie d’une table de massage et de nombreuses dessertes. La nature des équipements que j’y observe m’est parfaitement inconnue. Derrière un paravent en plexiglass dépoli, je devine une baignoire. Amélie se campe devant moi et annonce en me pointant du doigts, paume tournée vers le haut :

« - Donc comme ça, tu es la nouvelle petite cochonne de Brigitte ! J’imagine que tu es tout propre…

  • Oui bien sûr !

  • A l’intérieur de ça aussi mon cœur ? en disant ça, elle est venue se coller à moi pour m’asséner une vigoureuse main au cul. Je sens son index et son majeur caresser la couture centrale de mon fond de pantalon.

  • Ok ! On a du boulot ! Suis-moi ! Et si tu veux épargner mon emploi du temps, tu peux te mettre à poil tant que tu y es ! »

Elle file à grande vitesse derrière la paroi de plexy.

Je la suis et commence à me déshabiller, abandonnant mon deux-pièces et tout le reste de mes vêtements, boxer compris sur une desserte. Décidément, je vais devoir m’habituer à la nudité pour ce job.

« - Approche ! me dit-elle en tendant vers moi l’extrémité du tuyau de douche sur laquelle est montée un objet fin en inox. Tu sais ce que c’est ?

  • J’ai bien une idée mais j’avoue que je ne suis pas expert…

  • Ok dugland ! C’est une douchette rectale. C’est pour te faire tout beau de partout. Tu vas passer l’heure qui suit à bien te récurer le fion. Pas plus de trente millilitres à la fois, sinon tu vas en foutre partout. N’abuse pas sur le débit sinon on va retrouver tes amygdales collées au plafond. Tu as des questions ?

  • Non.

  • Ok vu ! Mets-toi au boulot, je reviens dans une heure. »

Sur le champ, elle fuse hors de la salle et je me retrouve seul, nu et investi d’une responsabilité absolument inédite…


Me voilà donc accroupi dans la baignoire l’objet en main. Je mets le bazar en marche en réglant une température tiède et un débit modéré. Une fois passé mes erreurs de débutant, je trouve la méthode et, avec application, j’exécute le travail demandé. Une heure plus tard, l’eau qui ressort de mon derrière en jets puissants est absolument limpide. J’entends les talons d’Amélie sur le carrelage. On va pouvoir passer aux choses sérieuses.

Elle me surprend alors que je n’ai pas eu le temps de me sécher :

« - Alors petite cochonne, est-tu prête à te faire toute belle pour ta patronne ? »

Je lui adresse un regard noir…

« - Allez va, détend toi ! Je suis certainement ta meilleure alliée dans ta nouvelle aventure. Installe-toi sur la table et profite ! »

Je m’exécute et me retrouve à plat ventre sur la table de massage. Amélie me passe une main sur le dos, finissant sa course dans la raie de mes fesses. Je la sens titiller mon anus alors qu’elle se penche jusqu’à me susurrer à l’oreille :

« - J’espère que tu es bien propre maintenant. Sinon, je vais être très mécontente… Tu ne voudrais pas que je fasse un rapport à Madame Le Fanu ! »

La tête logée dans le coussin de la table, je ne la vois pas. Cependant, je l’entends manipuler des ustensiles sur deux dessertes qu’elle a approché.

« - J’espère que tu es en forme parce que, vu ton état, on a au moins une heure de travail si on est chanceux. »

Je perçois le bruit caractéristique du démarrage d’un épilateur électrique… Puis la brulure lorsqu’elle l’applique sur la naissance de mes reins. J’émets un râle de douleur.

« - Détends-toi ! La première fois est la plus pénible. Et tu n’as pas encore goûté à la cire petite cochonne… »

Méthodiquement, elle s’est appliquée à faire disparaitre tous les poils de mes jambes et de mes fesses. Changeant de méthode pour épiler les zones moins accessibles de mon anatomie. L’application de la cire était moins impressionnante que prévue. Mais le retrait ! Quelle abomination ! Le rythme auquel elle m’imposait l’exécution de son art a commencé à avoir raison de mes efforts pour conserver une attitude stoïque. Malgré moi, je commençais petit à petit à larmoyer et à emmètre des gémissements pitoyables. Elle ne semblait pas affectée.

« - Retourne-toi ! me commande-t-elle au terme d’une éternité de mes souffrances. »

Je m’exécute, exposant tout le reste de mon intimité à Amélie qui affiche une attitude sobre et professionnelle. Elle fait passer son doigt manucuré sur la pommette de ma joue.

« - Mais on dirait bien que tu as pleuré ma petite fifille ! Tu vas devoir t’endurcir si tu veux réussir à plaire à ta nouvelle patronne tu sais ? »

J’essaie, sans grand succès, de me recomposer.

Elle reprend sa besogne, d’abord avec son épilateur, puis à la cire. Au moment d’attaquer la partie délicate, elle pose son matériel et me demande :

« - Tu t’es déjà rasé le sexe Zohran ?

  • Oui, je sais faire.

  • Très bien, va donc finir ça dans la baignoire ! Je reviens dans vingt minutes pour finir le boulot. »


Je me retrouve nu de tout poil disgracieux au terme du délai accordé. Tout mon corps hurle sa désapprobation pour ces petits actes de torture esthétiques. La porte claque.

« - Allez petite cochonne, prend dont une bonne douche, je vais te faire les finissions. »

Elle me retrouve au pied de la baignoire, me tendant un drap de bain largement ouvert. Je m’approche et elle m’enlace en me donnant un baiser léger sur les lèvres. Je réagis immédiatement par une érection puissante.

« - Je vois que tu es toute excitée petite cochonne ! »

Elle me laisse en plan et se dirige vers la table qu’elle frappe deux fois du plat de la paume.

« - Allez ! Viens un peu par ici ! »

Je m’installe sur le dos.

« - Je sais que tu es fier de me montrer que tu es content de me voir petit chien, mais tu vas quand même te mettre de l’autre côté ! »

Je me retourne et elle entreprend de m’appliquer un gel froid sur la totalité du corps. Je perçois l’odeur caractéristique de l’aloe. Ses caresses renforcent ma rigidité. Je suis au comble de l’excitation et obsédé par ce furtif baisé qu’elle a daigné me donner. Quelques minutes bien trop courtes plus tard, les caresses s’arrêtent et elle annonce :

« - Brigitte doit avoir de grands espoirs pour toi. Le matériel qu’elle m’envoie pour son harem n’est pas aussi luxueux d’habitude…

  • … »

Je comprends au moment où je sens le froid métallique d’un objet le long de la raie de mes fesses. Amélie lui fait parcourir plusieurs « vas-et-viens » avant d’y asséner une claque bruyante. Je sens sa fesse se coller contre mon flan lorsqu’elle s’assoit sur la table.

« - Tu veux voir ?

  • Allez détend-toi un peu ! Je ne suis que la préparatrice. »

En disant cela, elle se couche de tout son long sur mon dos et me présente l’objet dans l’ouverture du coussin circulaire de la table. Je suis prisonnier.

Entre son index et son pouce, elle me présente un plug anal. L’objet est en effet d’une facture très au-dessus de la norme. Usiné dans un métal doré, il est subtilement profilé et sa patine recueille le reflet de la pièce à la façon d’un miroir. Je suis touché mais les deux centimètres de diamètre de son plus large renflement me font peur.

« - Allez ma cochonne, tire un peu la langue. Ce genre de matériau c’est pas bon pour les dents. »

Ayant désormais l’habitude, je m’exécute et Amélie approche l’objet que j’entreprends de lécher avec méthode. Elle s’est placée à califourchon sur mon dos et je sens son entrejambe presque nu sur moi. Mon excitation reprend de plus belle.

« - Hmmm…. Mais je vois que tu aimes ça petite salope ! Vas-y ! Lèche bien ! Si tu t’appliques bien comme ça, tu vas vraiment me donner envie de m’occuper de ton cas. »

D’un bond, elle se place à côté de la table, faisant claquer bruyamment le talon de ses mules sur le sol. Je sens la froideur du métal entre mes fesses. Machinalement, je me dresse un peu plus sur mes genoux pour tendre mes fesses et mieux accueillir le cadeau de Madame Le Fanu.

« - T’es vraiment une grosse cochonne toi… Vas-y, prend le vite et bien ! Je n’ai pas que ça à faire. »

Je ressens la poussée de l’objet sur ma rosette. Amélie n’y va pas de main morte et exerce des vas et viens rapides en crachant sur la raie de mes fesses.

« - Oh, mais tu es vraiment novice pour une authentique petite salope ma cochonne ! Ecarte plus ! »

Je me dresse sur les genoux, séant exposé au maximum.

« - Tu es motivé, je vais t’aider un peu. »

Je sens à l’instant la poigne d’Amélie se refermer sur la base de ma verge. Grosse pression sur mon derrière…

« - Allez, accélère un peu le travail petite salope ! Je n’ai pas que ça à foutre ! »

Je fais effort pour accompagner l’introduction de l’objet en me cambrant d’avant en arrière et en évitant de repousser l’objet par la rétractation de mon anus. Je le sens venir mais cinq bonnes minutes d’effort ne donnent aucun résultat. Je ressens qu’Amélie s’impatiente.

« - Non mais tu vas y arriver salope ! »

Poussée vive ! Je sens mon anus céder dans un accès de douleur. A ce moment, j’ai vraiment l’impression d’avoir été brutalement violé. Je m’écroule sur la table, de nouvelles larmes aux yeux…

« - Retourne-toi, c’est presque fini. »

Je m’exécute, l’objet bien logé dans mon fondement.

Amélie se penche sur moi, exhibant ses seins fermes au travers de sa blouse ajustée :

« - Un peu de courage petite salope ! C’est bientôt fini et le plus facile pour toi reste à venir. »

Elle saisit un tube de gel qu’elle répand sur tout mon torse et entreprend de finir l’application de cette lotion calmante. Je suis saisi d’une sensation de félicité alors qu’elle me gratifie de langoureuses caresses. En conclusion, elle se penche sur moi et me donne un baiser langoureux.

« - Tu as droit à ta récompense petite salope. J’espère que tu vas faire sensation grâce à mon travail. »

Je suis juste incrédule et je n’arrive plus à bouger. J’attends la suite. J’entends les talons d’Amélie claquer sur le sol en fantasmant de nouveaux plaisirs. Soudain, elle me jette un paquet sur le bas ventre et annonce :

« - La séance est finie Zohran. Récupère le reste de ton golden hello et habille-toi ! »


Honteux, je me suis habillé sans vérifier le contenu du colis. Une fois dans ma chambre de bonne, j’y ai découvert le genre de golden hello que l’on donne à Digitale… Un string en simili-cuir, une douchette anale et un curieux objet en plastique qui semblait représenter un sexe masculin au repos en l’affublant d’un petit cadenas. Mon golden plug était toujours logé au fond de moi.

A suivre...

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